ooo
On repart ; j’ai tout envoyé ça sur l’blog ; advienne que pourra … Il est 3:43:24 (p.m.) , le samedi 21
novembre
2009.
Fait nouveau, il pleut ; et pas d’nouvelles des étoiles, ni d’ailleurs, d’ailleurs !
La brève algarade d’hier, sur la conviction chancelante du paternel et de ses convictions communes (fort chanc’lantes selon moi) avec sa chère et tendre ; c’est peut-être mal passé ? D’autant que ça était déjà dit dans les petites 2000;
mais que maintenant, elle y a impliqué sa fifille – la pauvre- ça change tout !
Moi, je vais de ce pas boirleter en grignotant je n’sais quoi, en approuvant je n’sais qui.
Il faut bien que vè-p-esse se lasse !
Je suis retourné faire un tour en 75, à l’Haaart ; y ai trouvé un type qui me ressemblait comme un frère (ça tombe bien, je suis en train d’lire ‘le bouc-émissaire’ d’Agatha Christie) ; un visage d’amour, qui pourrait être une sœur jumelle d’Hélène ; une bien étrange fille de 5°, qui fait c’qu’elle peut pour aider à faire comprendre la yeudo-Polanski-mistake …
Ce soir, j ‘étais invité à boire le ‘coup de l’étrier’, avec les résidents du château ; mais je préfère encore en bas, partager à 6 h. le potage de Génovéfa !
Il me restera peut-être même assez de menue monnaie pour payer un coup à Lichou !
2:09 du mat’, j’ai des frissons. Et j’ai ramené un cafésslaplui, retour de Nollo-Zémour qui crucifiaient une Mathilda très ‘tirée’ ; la misère de la pipolisation me ferait presqu’pleurer !
Restent quelques ‘Florentins’ pour ravaler les larmes dues à on voulait pas d toi;
mais non, t’es bête ; pas du tout ; mais tu va t’ennuyer (sub-told : (tiens, i’en a 2, D Flo.) on s’ra entre gens normaux, *quelle barbe pour toi *) .
Mais de Réac-à-réac, ma Bernadette chérie, tu n’croyais pas si bien dire !
« (I) don’t want an another night on my own », surtout que le Liorésal sonnant la débâcle attendue en 79, crainte en 06, je ne ferai courir aucun risque à mes belles de nuit … sauf que, ce regard contrit de ‘manque-à-gagner’, sa peine ‘’ sur son visage coloré, dans sa voiture décorée de fête, au sortir d’une soirée de Gala, elle me hantera jusqu’à …Et toi, ‘Dis-moi, Céline’ (Auffray); t’as pu t’en r’mettre ?
Mes prétendus frissons sont envolés ; et la nuit est douce. « Pour un cœur qui s’ennuie, Oh le
bruit , de la pluie. (elle s ‘ra capable de chanter faux, alors j’aime autant pas qu’elle essaie …)
Hier, il y a eu cette chute sous la douche – impressionnante : rideau arraché ; le pommeau qui envoyait l’eau à-tout-va – genre Niagara-revis’ted ; le corps coincé entre le bac, la porte et la cuvette des W-C ; et cette posture ridicule, les membres désarticulés bien 1m. plus bas ; les 19 mn pour arriver à se relever ; et, à l’arrivée, rien !
Même pas de douleur, pas de bleu, et le chien qui ne s’est pas réveillé, à moins d’un mètre du drâ-â-âme resté silencieux !
Et dire que 5 mn avant, je craignais seulement que cette douche ne soit une opportunité trop belle, pour mon vieil ami le ‘blocage de reins’, se réveiller ; comme aux plus beaux jours …
« Faut-il y voir la mort ?
- ou l’ironie du sort ? »
et ces visites cancelled
est-ce un coup du climat
ou de l’Arcantara
et bien fait pour sa gueule ?
le matin (9:54 ), réveil fiffisile ; et tant fis pour fa vifite à fenir …
Je fais souvent ce rêve étrange, épais, n’est trans-fuge, de me réveiller un jour la tête rasée de près, comme peut-être l’étaient ces touts petits (50 cm, si on en juge par leurs têtes – car c’est tout ce qu’on en a retrouvé …) , petits indiens silencieux d’Amazonie, avant que le contact des espagnols ne leur enlevât leurs calotte soignée – façon-moine, en même temps que leurs arpents de neige sous d’autres latitudes, dirait un examinateur du Bac.
J’en rêve encore (Palmas), donc, de me lever tout neuf et les cheveux coupés de frais, débarrassé de tous les miasmes qui me colle à la peau, depuis cette Toussaint fin de 7° décennie, dans un ancien millénaire (et à propos, tiens, il faut
penser à vérifier le tirage passé).
Et puis peut-être, la pluie et le vent ne pourront empêcher les Cassitérides de s’échouer à ma porte, que je leur ouvrirai d’une façon fort civile !
Un // vient me frapper le nez : une méfiance pour Bernard L. chez les Beaux-dico –et tant pis si j’en perds le nord- , que j’ai déjà vue rue Algésiras, et qu’sa rem-elle assortissait d’un caractère féminin ( assez bien vu, critiqu’en moins !) ; et votre mère gênée, comme pour tout c’qui sortit d’elle, ‘bene ut malle’ !
La radio se met en marche toute seule (il est 6:08, à l’Aube d’ été, que je n’embrasse pas, vu qu’on est fin Nov., qu’il fait encore plus froid qu’ça) ; tout à l’heure, je pars d’ici, avec l’évidence (pour la X-ième fois) de ta naissance au creux du ventre.
Et toi, Baclo-, tu traîne la débâcle des sentiments au sein de ton effet anti-spastiK !
Mais maintenant, « comment lui dire » (u-tu, Gall) ; tu sais ; alors, tais-toi, et ne ris pas …
Il va chercher à soulever le voile toute sa vie, pour le déchirer à 20 ans comme Zéna, et s’en trouver fort marri, si la terre rare tant cherchée vient d’une contrée lointaine, alors même que ‘everybody’ autour de lui sait tout depuis toujours ….
Du Lithium, chance inespérée dans un ‘Salar’ de Bol ; - - - en Chine ; vous pourrez être du jour au lendemain à la une de partout, alors : pourquoi attendre ; paraît-il qu’aujourd’hui, le monde évolue plus vite que cette indécrottable lumière, qui depuis Albert détenait un trône d’invincibilité … Tu n’étais donc qu’un petit Ben Johnson, qui nous laisse en attente de Ussein (Bolt, pas Obama) ; c’est à dire de l’apparente décontraction devant l’aveuglante réalité du Chrono (ou de l’ana- Adn) ?
Laissez venir à moi les (------------- ?)
Faut-il vraiment voir venir, de façon complèt’ment ‘out of control’ des regards de plus en plus lourds ?
Ceux que je laisse traîner sur Zén t’ont fait bondir en leur temps ; et toi, ce « Mais à qui elle ressemble ? », le 2/11/1984 , à 7 h. ¼ de Beaujon forcément, elle était déjà en couveuse !), ton déni d’gross-, pendant ‘ 4-5 mois, cette déception éclatante sur les joues de ta mémé … et Mireille, tu fis quoi, là-dedans ?