ooo
J’ai ra-ma-ssé du bois la-la-lère : bien pourri, bien coupé, par ce temps i d al ..
Puis, dans une tasse de thé-menthe pas très - - , je me suis débarrassé d’ongles bien trop longs pour les critères de Copenhague ; alors, pourquoi attendre le mois prochain pour y mettre bon ordre (surtout depuis, que je sais que Braouzec –ou 1 autre co-bis repetita (placent, Zéna dixit)- va y asservir en un ‘tour de main’ une nièce trop innocente, pour un monde si corrodé - après se l’être fait sur une autre complètement barrée (je la supporte pas – je la supporte. pas ; « Eh, c’est parcequ’c’est le couple idéal – il était temps alors, de dire de telles inepties ! »
Bon, là j’me répète, mais ça fait du bien, rétrospect. (c’était Août 2003 ?)
À l’instant, je reviens de Pleyben ; le cloître y souffre encore des relations - - - antes qui s’y fondèrent autrefois (1993 !). Et ce retour angoissé une semaine après, au port de tous les
délits.
Aujourd’hui, Baltik-toutes-les-qualités mène sa barque comme il veut. Moi, je m’balance, de savoir, ce que les autres pensent !
Ce matin, après une intro- curieuse (7:58:09 , le Vendredi 20 novembre 2009) : onvient me parler, de rase en rad’y obligé d’entendre, de la mort d’un p’tit cheval –de 61 quand même, il aura bien duré, depuis les soirées qu ‘elle a charmé, rue des Onchères, plutôt que Lenoir trop impliqué dans tout ça (Dear friend quand même, le X/12/80). Salut à toi, Cris ; bonjour à toutes les honteuses « hand-frog » délivrante de billets pour Johannesburg !
Shame on you, Henry-Dom !
Enfin un irrité par les ’faire son deuil’ si con-sans-suels ; mais qu’un autre temps vienne ; que ce soit Collie ou Murielle, peu importe …
Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur Killien;
Pourquoi cette langueur qui l’emporte sur tout ?
À 10 h., je pars à Quimper, sous la pluie, peut-être. Il faut voir.
Hier, Phil était si désolé, de m’imaginer dans un antre de 3-Oh ; mais t’inquiètes, petit, ta voix si grave, elle est prè(-te ; risk ‘nd restless le dit)s de l’emporter sur tout …
On file tous à travers l’eau, et laisse les chiens se cocooner dans la paille ; mes bises à Bernadette sont p’têt bien malvenues ; ou au contraire … Va savoir ? (Jingle)
Nouvel albums de : Nora Jones (- - - daughter), et Susan Boyle (prolo sister) ; et derrière moi, Marceau-Lambert restent para-joueurs.
Et rapt face à ma f’nêt’ d’un centre de rééducation, où les familles s’étripent à cœur joie ! Et moi donc, accueillant dans ma petite cellule, Catherine (Paix à --- ; à non elle a même pas été incinérée !) qui m’apportent religieusement la cassette (débobinée par Zen), sur laquelle une femme de ménage Porto pourra bientôt danser la ‘Bossa’ au rythme de sa serpillière ; ce sont de ces émotions qu’on oublie pas !
Retour de ballade à l’auberge enchantée : « Cosy-Pasta », dans l’espace d’un Géant, avec des plats mirifiques, à 1 ou 2 ‘cônes’ ; tout un domaine enchanteresk !
À part ça, la gare est triste hélas, et pas de carthé-drâme,
pour venir relever la solitude-de :
l’âme …
La pluie a cessé là ; comme s’il suffisait
d’être au sec pour le cœur (à l’inverse), se couper d’une autre eau !
Lichou a pu sauver ses oreilles menacées de mangeaison, par son jeune copain. Et est allongé, tous ses sens en alerte, sur le tapis, à mes pieds ; après une matinée sur la paille d’une geôle, enfin un répit bien gagné, pour cette grosse feignasse …
Lentilles avec gros cailloux – tout comme aux temps Idylliques, baignés des yeux de mon enfance (avant cette maudite révolution de 1847-8 ( ?). A part ça, je m’en fous – de tout – de ces chaînes qui pendent à mon cou ; j’oublie ; j’oublie … Je dois encore marcher seul, pour voir ce renard qu’un 4X4 de foire a explosé plus loin !
Mais le chien dort, que puis-je y faire ? Le réveiller ?
Il me mordrait …
Aïe, aïe, aïe !
Mieux vaut remettre à plus tard toutes les expéditions vengeresses de cette petite galaxie !
Le conflit des générations (canines) vient d’entrer dans une nouvelle ère : exaspération de la vieille classe, rebuffades bien trop timides de l’ancienne (il se pend à ses oreilles ; Hé, chien, t’es pas une perle !). Et ils courent après la voiture, en route pour « La croix blanche » ; du coup, je suis obligé de sortir pour qu’ils rentrassent (t’as vu cet accord !), pour ne pas entraîner un désaccordage domestique ; à force de trop tirer, la plus solide se casse …
Bref, je rentre; et Treber aussi, du coup !
L’implacable entraînement de la per-su-asion !!
I’a maint’nant 1 T.V.
Qui trône sur le sèche-linge ;
Et l’install- électrique :
« mais non : idem partout …»
Et le poignet si lourd
Sur le coin du bureau,
me dit : ‘quelques éclairs
ne feront pas venir
au ciel l’éclaircie … !
Lichou dort à présent ; il faudra l’éveiller, pour au fond du salon la télé regarder.
Et dire que demain, ou en tous cas avant de l’entrer au Blog, je devrais me relire ! Brrrrrrrrrrr- ;
Froid dans l’dos rien qu’d’y penser !
Cocteau disait ; « Puisque ces évènements nous dépassent, alors, feignons (courageusement – ça c’est d’moi !) d’en être l’auteur.
Idem de (dans l’des-ordres) :
- Bridget à Montsapey,
- Éliane à la Croix-Rousse,
- Hélène à Tréompan
ou de :
- Thierry chez le-comte …
- Philippe rue des Thuyas
- Patrick un peu partout
Etc ???
Quand j’dis idem, il faut entendre (du côté où la surdité chez moi génétique, n’aura pas encore frappé)
‘Satisfaisant au même protocole décisionnel ?’.
A.e. (i.e. ‘autrement dit’) qu’on est tous les 2 complètement dépassés par tout le foin d’Artichauts que d’autres prendront soin de faire (Louzaouen ou de Buretel), de ce qui n’fut jamais dans notre esprits –sinon dans nos corps-, qu’aventures’ très rationalisées –
Weren’t they ?
Pour sauter, encore, du coq-à-l’âne, disons qu’il s’agit en la circonstance, d’imprimer d’une police ‘Gras-gothique-surligné-iltalique’ sur nos fronts d’albâtre : « défense aux autres d’entrer » ; un peu comme on écrit sur des Post-it collés au fronton des frigos dans les maisons honnêtes : « défense à Sieur Camembert d’entrer », ou sur toutes les chrétiennes basiliques à travers le monde « défense à Dieu d’entrer » … (c.f. ‘La légende des siècles – Caïn)
Un juste retour des choses, comme on dit quand notre in- - - , aurait voulu inviter tout le consortium des chums dans notre pré-carré ; ou quand trop de « mais c’est fait pour ça », vient enlever tout son goût, aux fromages les plus onctueux !
Et cette terrible impression, que le ‘Liorésal – 2006’, i’venait encore top tôt ;
avec Céline en prime.
Mais surtout cette obscure certitude, que le temps arriverait ; quand d’autres seront partis (« je n’peux pas leur faire ça ; leur jeter à la figure la preuve de leur incompétence, eux ui n’ont jamais voulu qu’être des parents com- com- les autres !) ; quand le soutien des écrits pourra oblitérer un peu ‘l’insout’nable légèr’té de l’êt’ ’ …
Et d’un café au Burger-King, place de la Lib- ; et de mes regards complèt’ment dégouttés, que je t’ai tant lançé(-s, -es, -er, -et ?), cela alors que j’avais dit : « t’inquiètes ; tôt ou tard, on en rira … Fais c’que je te dis parfois que tu dois faire ; pour toi. Et vogue la galère. Un « tiens » vaut mieux que deux « tu l’auras » ; et toute cette sorte de sentences sans tant sermon (ça sent ton mensonge), apprises par cœur sur les bancs de bois de l’école communale et si bien galvaudés après, depuis qu’on est au collège.
Commentaire de coeurdorizon (27/12/2021 10:01) :